CONTRIBUTION A UNE ENQUETE ETHNOBOTANIQUE

DE LA FLORE EN TUNISIE (CAS DE LA REGION DE SFAX)

 

CHAIEB Ikbal* ; HARZALLAH-SKHIRI Fethia* ; CHEMLI Rachid **

*Ecole Supérieure d’Horticulture et d’Elevage Chott Mariem

**Faculté de Pharmacie de Monastir

 

I- Introduction:

Notre étude consiste à l’élaboration et le dépouillement d’une enquête qui concerne l’usage traditionnel des plantes dans la région de Sfax (ville et quelques banlieues). Cette étude fait partie d’un projet national mobilisateur (PNM) qui concerne l'étude des plantes médicinales en Tunisie. Elle comprend entre autre la réalisation d’un herbier national des plantes médicinales et l’élaboration d’une banque de données sur support informatique concernant les recettes utilisant les plantes en médecine traditionnelle. Lors de l’exploitation des données recueillies pour notre enquête nous avons réalisé une étude statistique mettant l’accent particulièrement sur le groupe des plantes alimentaires à usage médicinal.

 

II- Principaux résultats

1- Pathologies :

2-Partie utilisée de la plante :

3-Etat d’utilisation de la partie de la plante :

4-Opération pharmaceutique :

5-Mode d’administration :

6- Véhicule :

7-stade de cueillette :

8-Autres utilisations des plantes médicinales :

9-Nombre de recette par catégorie :

10-Relation Famille végétale – catégorie de maladie :

11-Relation famille végétale – maladie :

12-Relation famille botanique – organe utilisé :

 

III-Conclusion:

Ce travail nous a permis de réaliser a petite échelle un modèle d'étude statistique pouvant être suivi pour traiter une grande quantité d'information concernant les enquêtes réalisées dans le cadre du programme national mobilisateur. Nous avons dégagé les particularités des techniques de préparation et d'administration des plantes médicinales en Tunisie et à Sfax en particulier. Les observations concernant la relation groupes plantes/maladies peuvent être utiles pour orienter un travail de recherche dans le domaine chimique ou clinique. En plus notre étude de quelques espèces révèle que quelques unes sont insuffisamment étudiées par la communié scientifique internationale.

 

 

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